Bon je post sa, c'est vieux et perso je trouve mauvais maintenant. x)
Flynn est un personnage que j'avais créer pour un Jeux de rôle sur table avec des amis, ils m'avaient m'y au défi de faire un personnage cruel et
méchant. (Parce-que je suis tout à fais l'inverse de sa) Je crois avoir bien réussi sur le plan psychologique, avoir créer un personnage zélé
sur de lui et psychotique, personnellement je le trouve très intéressant à imaginer 
. Journal d'un criminel, par Flynn D'Avalon.Nom: D'Avalon
Prénom: Flynn
Âge: 39 ans
Race : Demi-Elfe
Caché...
tuer...
s'enfuir...
piéger...j'adore. Faire un peu de désordre et de ménage à la fois...essayer...
Je m'appelle Flynn, j'ai grandi prêt des côtes. Les pirates s'amusaient souvent là-bas. C'était un bon temps. Carnage et pillage je les voyais faire leurs pagailles comme ILS le voulaient, aucune loi ne les arrêta. Aucun ordre ne les fessaient stopper. Ni les femmes, ni les enfants. Il voulait s'amuser et piller. Violer jusqu’à la dernière vivante. Quelque fois je me mêlais-à eu. Je tuai l'un des leurs avec un vieux couteau pour me déguiser et participer au ébat. Un jour, le premier de ma vraie vie, je me fis prendre par le capitaine du "Angry Man" il m’a dit ceci:
-Petit tu as du cran, mais je ne sais pas si tu tiendrais vraiment en mers. HAHA Aller si tu veux jouer au pirate joue en un vrai ! Je t'offre un poste petit.
Il était amusant le vieux barbu, mais idiot. J'ai accepté son offre. J'ai appris à me servir d'une épée et à tirer avec une arbalète. Je malmenai souvent l'équipage même si j'étais le plus jeune de tous. Le capitaine m'avait prit sous sa tutelle. Le fou... Dés qu'il m'eut tout appris je l’évinçai de la piraterie d'une manière forte peu commune dans ce métier. Depuis je n'ai jamais arrêté de sourire. Il fut découvert 2 jours plus tard empaler sur mon épée dans la cale du navire. Pendant la nuit je m’enfuis avec l'épée du cadavre, l'épée...je l'ai toujours...l'épée avec un reflet rouge sang sur la lame...l'épée...
Pendant la dizaine d'année qui suivit j'ai monté un groupe de criminel nommer "Le lotus noir" spécialiser en meurtre et cambriolage, nous n'étions pas très recommandable...mais un jour l'un de mes hommes tenta de prendre le contrôle. Il est mort tranché en deux...littéralement. J'ai abattu les membres de la mutinerie et j'ai dissous l'organisation par la suite. Je préférais désormais travailler seul. Me faire connaitre seul. Être la peste a moi seul. J'ai presque réussi...
Présentement...je cherche...je cherche la voie....pour m'enfuir....me cacher...et tuer pour mieux piéger....J'adore cela toujours autant...
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Chapitre Premier
Cela fessait déjà quelques semaines depuis les meurtres sanglants des trois patrouilleurs de Vitopolis.
Toujours en cavale et aussi intouchable qu'à son habitude, Flynn c'était égarer, maintenant loin de sa destination, la Besogne, il recherchait désespérément son chemin à travers les grandes dunes de sable du Darkan.
"Pfeu, j'aurais encore préférer me retrouver dans les landes gelées du nord... ici ya même pas de vivant autres que les lézards..."
-JE VAIS QUAND MÊME PAS CREVER DANS CE DÉSERT! Cria-t'il.
Il avait perdu son sourire, celui qu'il à toujours, celui qu'il fait quand il se croit invincible...
Face à la chaleur brûlante du Darkan, il avait peur, peur de ne plus pouvoir terminer ses projets de grandeur.
Le vent se leva, et c'est là qu'il comprit l'expression de son village: Le désert se plaint face à la mort.
Il avait toujours prit cette phrase au sérieux il avait en tête que si il se plaignait il faillirait.
-TU CROIS QUE JE SUIS FINI C'EST SA?!
TU CROIS QUE JE NE TE SURVIVERAIS PAS?!
ATTENDS UN PEU QUE JE SORTE D'ICI!!
...
Le vent lui répondit par un bruissement, le sable s'envolait toujours de quelques centimètres au dessus du sol pour avoir la mauvaise habitude de rongé les mollets du bandit.
Flynn s'arrêta un instant pour regarder au loin, il regarda l'horizon, du sable et encore du sable...il allait changer de direction, mais au dernier instant il vit une ombre noir se déplacer au loin. Il cru d'abord à un mirage comme les autres fois ou il c'était fais berner par son imagination.
"Qui ne tente rien n'a rien...." Ce répéta-t-il sans cesse.
Il avança à travers les dunes, l'ombre commençais à prendre forme, cela ressemblai à une caravane, des nomades du désert enfin… la légende des hommes qui y vivaient.
Il répéta sa phrase sans arrêt. Il approcha jusqu’à une centaine de mètre de la "caravane". Sa vision faiblissait, ses sens s'atténuèrent. Il sentait la fatigue monter en lui, la fin approchait.
Il s'effondra....
...
La caravane bifurqua vers lui, les hommes à sont bord l'avait vu. Le convoi s'arrêta près de lui, 3 hommes débarquèrent et vérifièrent sont état de santé. L'un d'eux affirma qu'ils arrivaient juste à temps, la santé de l'étranger était critique : la faim et la déshydratation avait rongé sont corps.
Ils l'embarquèrent dans la caravane et prirent soin de lui durant quelques jours.
Flynn ouvrit les yeux tranquillement, avec le peut de force qu'il avait pour le faire, il entrevu des hommes et des femmes habiller de grand vêtement ample couleur sable. Il referma les yeux pour s'assurer qu'il ne rêvait pas.
"Non...les dieux...m'ont prit...en pitié....je...je m'avais promis que..."
Une petite fille passa sa tête par dessus la sienne quand il referma les yeux.
(Elle parla un langage incompréhensible.)
Un vielle dame approcha par la suite, toute ridé et ravager par le temps.
...
Elle commença à parler…il ne comprenait pas. Flynn tourna la tête plusieurs fois, ses mains couvraient ses oreilles pointu en se disant que la vie avait eu pitié de lui… pitié de le voir souffrir…pitié de lui…pitié de celui qui avait tant enlevé de vies et brisé de rêves par ces ravages à travers le monde…
L’un des nomades passa tout près sans porter attention, il avait à sa ceinture l’épée…la flamboyante comme Flynn aimait l’appeler… Il se leva rapidement en enlevant la grand-mère de son chemin et agrippa l’homme par la gorge pour ensuite l’adosser au mur avec violence. La jeune fille se réfugia dans les bras de la grand-mère. Les enfants qui étais autour arrivèrent attirer par le bruit et certain commencèrent à crier pendant que d’autres fuyait la scène d’horreur qui était face à eux. Le bandit avait reprit son épée et en un seul mouvement il avait ouvert le torse d’un innocent. Flynn regarda autour de lui avec un grand sourire, comme si la mort du nomade avait réveillé ces instincts primaires…
Il avança vers la porte qui mena à l’extérieur et contempla le paysage.
-…Du sable…encore du sable…j’aurais espérer être plus prêt de la fin…
Il ce retourna vers les caravanes et dit bien fort avec un air joyeux. :
- Vous avez de la chance ! Je vous garderais en vie si vous me ramener vers la fin de ce minable désert !
Il prit maintenant un air sadique comme seul lui pouvais faire en regardant les enfants.
-Sinon…j’en tue un à chaque jour…
Les nomades ce regardèrent et commencèrent à murmurer.
-SILENCE ! cria Flynn. Je n’ai pas dit que vous aviez le choix ! Le seul choix que je vous laisse
C’est le nombre d’enfants supplémentaires qui passeront sous le fil de ma lame ! Nous partons dans une heure pas moins. Soyez prêt...huhaha !
Flynn prit marche vers la caravane de tête avec les enfants. Il s’arrêta a mit chemin, tourna la tête vers les nomades et dit :
Soyez prêt…car moi je le serais…
Chapitre Second
Les nomades écoutèrent tout ce que Flynn leurs ordonnaient. Il avait de nouveau soumis un groupe par la peur et sa propre force…Et il avait finalement sortit du Darkan.
« Même un désert n’as pas réussi à me tuer…hahaHAHAHA JE SUIS PLUS FORT QUE LA NATURE MÊME !! HAHAHA !!!!! »
Il avait laissé toute la caravane en vie.
« Si je suis plus puissant que la nature…est-ce que je suis plus puissant que le plus grand empire des hommes ? Tout le pays me cherche déjà, je pourrai me servir de cette avantage…recréer le Lotus Noir…ou pas…peut être changer le nom…les projets seront différent…..je sais ce que je vais faire…huHAHAhaha...ha.ha.h..uh….je doit me calmer…la route sera longue, je ne sais pas ou je suis et j’ai encore beaucoup de travail devant moi»
Le bandit regarda autour de lui et scruta le paysage qui l’entourait.
« Uh…aucune idée où je suis mais ya une rivière là-bas, si je la suis, je devrai tomber sur un village ou du moins en allant à contre-courant je vais retourner vers les montagnes de l’empire. »
Après quelques jours de marche en pleine nuit, pour éviter toutes patrouille possible, une lumière se faisait tentatrice au loin. Après quelques jours sans manger chaud et sans voir de lumière très longtemps Flynn se précipita vers cette lumière qui ne cessait de grandir quand il approchait. Une petite maison se fit voir, seul dans la forêt. Un autre bâtiment semblait faire office d’étable selon l’odeur qui si dégageais.
Flynn ralentit le pas et regarda par une fenêtre, un feu avait été préparé pour la nuit et ces habitants avaient l’air de dormir.
« Hum…gentil…ou méchant… »
Il lance une pièce et la rattrapa.
« Gentil…pff…essayons… »
Il se dirigea vers l’étable, le sol était couvert de paille et y était habité par un cheval et deux vaches. Flynn prit place sur un tas de paille destiné à nourrir les animaux et s’assoupi après quelques minutes.
¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤
Au chant du coq dans la maison un homme se leva, prêt à une autre journée de labeur. Il sortit et se dirigea vers l’étable où à son insu quelqu'un y avait passé la nuit.
- Urm... mais qu’est-ce que...Qui êtes vous ! m’enfin on passe pô dans l’étabe dé gens sans lé prévnir ptit gars ! Aller debout au moins !
Il secoua Flynn tranquillement pour le forcer à se lever. L’elfe ouvra les yeux pour laisser place à l’image d’un vieil homme arborant un chapeau de paille qui le secouait avec son pied.
- Silence papy j’essai de dormir tranquille pour une fois…
- Quoi qu’est-ce mon gars le coq à chanter cé pourtant l’heure de slever ! Aller debout je t’invite à déjeuner, c’est rare que jé dla visite ! Tu pourras mdonner des nouvelles du monde ! Fais un bout dtemps que j’en é pô eu. Aller t’auras qu’a me rejoindre à l’intérieur quand tu sra prêt, moi jvais allumer le feu.
Étonner Flynn releva un sourcil, un gentil vieillard étrange, très étrange pour accueillir n’importe qui à sa table.
Et sa fini comme sa parce-que je suis un gros flemmard qui écrivais pendant c'est cours. 
2010-09-25, 07:33
